Encuesta Margrave: ¿Cuánto dinero necesitas para vivir sin trabajar, y ser feliz?

Gracias, seguro que sabes que somos unas campeonas porque lo habrás visto en tu madre, felicidades a vosotros también.

Cordialmente.

eeh eh si no quereis ver Telecinco poneis CUATRO o la siete ,divinity ,energy...pero no los borreis del mando que voy con Mediaset

P.D: Lo se, Dios perdona ,vosotros no V_v Un saludo roc ,ya tengo el libro, muy bbien muy BIEN (conversaciones en un cafè sin duda)

Porque he vivido en Francia, y al menos lo que ví allí no era mejor. En Holanda ya ni te cuento. Pero para gustos, colores, a lo mejor a ti te gusta más. Ahora en Francia también hay lista de espera, y desde hace mucho tiempo además.

No te sulfures...

Saludos cordiales!!!

Jaja, no mujer no me sulfuro..solamente digo que el sistema es diferente es unce caisse de maladir, un estilo de mutuelles, para mi mucho mejor que este sin duda..
aqui te dejo lo que es el sistema Holandes..que no difiere mucho del belga o Francia..aunque hay alguans variaciones..

J1. Les Pays-Bas figurent parmi les rares pays de l'OCDE à avoir réussi à stabiliser la part des dépenses de santé dans son PIB au cours de la dernière décennie tout en conservant des taux de remboursement corrects. Les dépenses de santé représentent 8,9 % du PIB, soit une augmentation de 0,1 point depuis 1990.

2. Le système néerlandais de santé a fait l'objet de réformes dans les années 1990 dont les principaux leviers sont l'introduction d'une concurrence régulée entre caisses d'assurance publiques, le transfert partiel des risques vers les assureurs publics et le début d'une mise en concurrence entre fournisseurs de soins.
Après 14 ans de réformes, il en résulte une transformation conséquente du paysage assurantiel néerlandais même si l'ensemble des réformes n'a pu être mené à son terme. Ainsi, la concurrence entre caisses publiques est réalisée, ce qui a engendré des gains d'efficience non négligeables au sein des caisses. Cette mise en concurrence est allée de pair avec un transfert partiel du risque financier de l'Etat vers les caisses. En revanche, la réforme n'est pas allée à son terme en ce qui concerne la mise en concurrence entre assureurs publics et privés, qui restent deux groupes d'acteurs cloisonnés couvrant des catégories de population déterminées par la loi. La possibilité offerte aux assureurs de contractualiser de manière sélective avec les prescripteurs de soins a également achoppé sur la pénurie de l'offre médicale en ville.

3. L'organisation du système de santé présente des similitudes institutionnelles notables avec la France mais également des divergences non négligeables.

La couverture assurantielle du risque maladie relève d'une logique professionnelle et est gérée par des caisses publiques pour 65 % de la population. Néanmoins, elle présente les particularismes suivants.

En premier lieu, toute la population est couverte par la loi A.W.B.Z. qui assure la couverture des soins les plus onéreux et de longue durée. C'est une assurance de plein droit -ie toute personne répondant aux critères spécifiés par la loi est assurée- et ouverte aux résidents des Pays-Bas et aux non résidents assujettis à l'impôt néerlandais.

Le second étage assurantiel concerne la couverture des soins courants. Ces derniers sont assurés par les caisses publiques pour 65 % de la population ou des assurances privées pour 35 % d'entre eux. Le régime Z.F.W. (Ziekensfondswet), géré par les caisses publiques, concerne les salariés dont les revenus sont inférieurs à un plafond d'affiliation (fixé à 29 800 € en janvier 2002), les personnes de plus de 65 ans dont le revenu est inférieur à 19 000 €, les bénéficiaires d'allocations sociales et les entrepreneurs indépendants avec un revenu maximal de 19 000 €.

En troisième lieu, l'assurance volontaire couvre l'ensemble des soins pour lesquels l'Etat considère que la prise en charge relève de l'initiative individuelle. Ce segment de soins est couvert tant par les caisses publiques d'assurance que par les assureurs privés. 90 % des assurés ont opté pour une couverture complémentaire.

Saludos Marilyn,

Claro que alli se paga no es gratuito como aqui,

Buenos son los reves doux

No es igual en todos los paises. En España es completamente cerrado, cuñadismo y empresas monopolios. No hay libre mercado. En Usa es distinto. Ellos dejan OPORTUNIDADES, a los que no son nadie. S 2

El problema del oro es que al no tener uso industrial, su demanda es unicamente de particulares. Y los particulares no puden fisicamente absorber su producción anual para hacer subir los precios. Cuando pincha ese año no absorben la pruducción, hay excedentes y por exceso de oferta, el oro baja. En materias primas es la ley de la oferta y la demanda, y tengo claro que los inversores particulares no pueden absorber toda la oferta. Ese artículo de Buffett que puso Sco y no localizo, era meridianamente claro, como todos los de el. S 2

hola mar, seria conveniente observar las curvas del material con el Baltic Exchange Dry Index y saber de las evoluciones...un abrazo.